Éclairage pleine nuit
Posté : sam. 15 oct. 2016 23:36
J'ai une « philosophie » (un bien grand mot) du vélo qui se doit d'être efficace en m'offrant la plus grande tranquillité d'esprit possible, donc en requérant le moins d'attention et le moins d'entretien possible.
En matière d'éclairage, avec les piles on risque toujours qu'elles soient à plat au moment où on en a besoin sans parler d'aspect écologique et de recyclage. Pareil pour les batteries rechargeables, il faut penser à les charger régulièrement sinon c'est le même souci. Et les éclairages démontables qu'on finit toujours un jour ou l'autre par les oublier à la maison, les perdre ou se les faire voler…
Il existe un système qui répond bien à mon désir : l'éclairage alimenté par moyeu-dynamo.
Oublié le souvenir des dynamos « bouteilles » sur jante au rendement médiocre qui m'ont fatigué toute mon enfance à vélo et qui s'éteignent au moindre arrêt !
Le fait que la dynamo soit au centre de la roue, fait par effet de levier que la résistance sera imperceptible. Les progrès techniques font que ces dynamos et les phares associés ont un bien meilleur rendement.
On se fatigue moins en éclairant plus !
Généralement dotés d'une alimentation stabilisée, les phares ne risquent plus la surtension et de plus, restent allumés quelques minutes après l'arrêt, par exemple le temps de patienter à un feu rouge.
On se sent en sécurité.
L'éclairage peut rester allumé en permanence, toute l'année et à toute heure, il ne consomme pas de piles, ne dépend pas d'une prise électrique et sera toujours prêt lorsque on enfourche son vélo. Il nous rend plus visibles même en plein jour, et de nuit il éclaire plutôt bien la route.
On peut même recharger un petit appareil électronique sur câble usb (smartphone, gsm, apn…), soit par un connecteur dédié sur le phare avant, soit par adjonction d'un équipement intermédiaire.
Certes c'est un investissement élevé, surtout si on choisit du matériel haut de gamme (Schmidt, Busch & Müller, Shutter Precision, Shimano haut de gamme…), mais pour reprendre la fameuse réplique d'Audiard : le prix s'oublie, la qualité reste, d'autant que la roue montée avec le moyeu peut se conserver et passer à un autre vélo si on en change (il est du coup plus intéressant de se faire monter ou acquérir une roue complète avec le moyeu-dynamo plutôt que faire monter le moyeu-dynamo sur la roue avant originale de son vélo, on garde ainsi la roue d'origine pour la remonter le jour où on revend le vélo, et garder sa précieuse roue à moyeu-dynamo).
J'avais écrit ce petit article pour parler de mon dernier phare Schmidt Edelux II, avec des photos prises dans le noir dans le hall de mon parking, qui ne sont pas d'une précision scientifique, mais donnent quand même une petite idée du résultat.
En matière d'éclairage, avec les piles on risque toujours qu'elles soient à plat au moment où on en a besoin sans parler d'aspect écologique et de recyclage. Pareil pour les batteries rechargeables, il faut penser à les charger régulièrement sinon c'est le même souci. Et les éclairages démontables qu'on finit toujours un jour ou l'autre par les oublier à la maison, les perdre ou se les faire voler…
Il existe un système qui répond bien à mon désir : l'éclairage alimenté par moyeu-dynamo.
Oublié le souvenir des dynamos « bouteilles » sur jante au rendement médiocre qui m'ont fatigué toute mon enfance à vélo et qui s'éteignent au moindre arrêt !
Le fait que la dynamo soit au centre de la roue, fait par effet de levier que la résistance sera imperceptible. Les progrès techniques font que ces dynamos et les phares associés ont un bien meilleur rendement.
On se fatigue moins en éclairant plus !
Généralement dotés d'une alimentation stabilisée, les phares ne risquent plus la surtension et de plus, restent allumés quelques minutes après l'arrêt, par exemple le temps de patienter à un feu rouge.
On se sent en sécurité.
L'éclairage peut rester allumé en permanence, toute l'année et à toute heure, il ne consomme pas de piles, ne dépend pas d'une prise électrique et sera toujours prêt lorsque on enfourche son vélo. Il nous rend plus visibles même en plein jour, et de nuit il éclaire plutôt bien la route.
On peut même recharger un petit appareil électronique sur câble usb (smartphone, gsm, apn…), soit par un connecteur dédié sur le phare avant, soit par adjonction d'un équipement intermédiaire.
Certes c'est un investissement élevé, surtout si on choisit du matériel haut de gamme (Schmidt, Busch & Müller, Shutter Precision, Shimano haut de gamme…), mais pour reprendre la fameuse réplique d'Audiard : le prix s'oublie, la qualité reste, d'autant que la roue montée avec le moyeu peut se conserver et passer à un autre vélo si on en change (il est du coup plus intéressant de se faire monter ou acquérir une roue complète avec le moyeu-dynamo plutôt que faire monter le moyeu-dynamo sur la roue avant originale de son vélo, on garde ainsi la roue d'origine pour la remonter le jour où on revend le vélo, et garder sa précieuse roue à moyeu-dynamo).
J'avais écrit ce petit article pour parler de mon dernier phare Schmidt Edelux II, avec des photos prises dans le noir dans le hall de mon parking, qui ne sont pas d'une précision scientifique, mais donnent quand même une petite idée du résultat.